Jesuis le maître de l'univers Publié le 15 septembre 2008 par Ledjam. Il y a eu Sim City, qui m'a occupé de longues nuits à créer des villes gigantesques Puis il y a eu les Sims, ou comment vivre par procuration Aujourd'hui, vous pouvez devenir la clef du secret de l'univers de Spore !! Decidemment, "EA Games Challenge Everything", comme ils disent. Retour à La Une de . Tweet Genres littéraires ► Le théâtre ► vous êtes iciGenres littéraires » Le théâtreHistoire et règles de la tragédieSommaire La tragédie antique Aristote et la tragédie Qu’est-ce qu’une tragédie ? La fable Les personnages Les règles de la tragédie classique en France Les trois unités Les unités cadre artificiel ou idéal ? Les bienséances La vraisemblance La tragédie peut-elle avoir une fin heureuse ? La tragédie après le XVIIe siècle La tragédie antiqueLe philosophe allemand Nietzsche, dans son livre La Naissance de la tragédie, a tenté d’expliquer historiquement l’apparition de ce genre majeur du théâtre dans la république athénienne du Ve siècle av. En fait, les modalités de cette apparition ne sont pas encore connues avec certitude aujourd’hui. Nous avons parlé des origines sacrées et rituelles du théâtre. À cela il faut ajouter deux éléments clés pour comprendre la naissance de la tragédie dans la Grèce antique le théâtre est un art communautaire. Il s’est développé à partir des rites et des célébrations officielles de la cité. En outre, ses sujets étaient tirés des mythes et des légendes communs aux principales cités noms prestigieux résument l’épanouissement de la tragédie Eschyle, Sophocle et Euripide. On considère Eschyle 525-456 av. comme le fondateur du genre. Ses tragédies s’inspirent de sujets mythologiques, comme son Prométhée enchaîné, ou bien de l’histoire récente, comme dans Les Perses, qui fait référence aux guerres qui opposèrent les cités grecques au puissant empire perse. Avec Sophocle 495-406 av. la tragédie atteint sa maturité littéraire. De son œuvre considérable, on a conservé sept tragédies, dont Antigone, Électre et Œdipe roi. Toutes ces œuvres s’inspirent de sujets mythologiques, qui seront repris par des auteurs français du XXe siècle Jean Anouilh a réécrit » Antigone et Jean Giraudoux Électre. Enfin, Euripide 480-406 av. est peut-être le premier auteur tragique moderne » de la Grèce antique. Si ses sujets sont toujours tirés de la mythologie, il met en doute la véracité de ces récits. Dans ses pièces, il analyse avec finesse la psychologie très humaine qu’il attribue aux personnages divins et Euripide, le déclin des cités grecques entraîne le déclin de la tragédie elle-même, trop liée à la vie collective de la cité-État. Lorsque le philosophe Aristote, au IVe siècle av. compose son traité sur la tragédie intitulée Poétique, la grande période du genre était déjà passée, un peu comme ce fut le cas en France après Racine.→ À lire Sophocle Œdipe roi. → À lire aussi La tragédie et la tragédieL’ouvrage d’Aristote exerce toujours une influence immense plus de dix-huit siècles après la mort de son auteur. Sans la Poétique , la tragédie n’aurait sans doute pas existé en tant que telle en Europe. À partir de la Renaissance, ce texte a été maintes fois traduit parfois très librement, interprété, et commenté. Résumons la théorie qu’il qu’une tragédie ?Pour Aristote, c’est l’imitation mimesis, en grec d’une action sérieuse et complète en elle-même, dans une forme dramatique, et non pas narrative comme dans la poésie épique ; cette action dramatique » c’est-à-dire jouée sur scène par des acteurs comporte des péripéties qui se terminent par une situation très malheureuse, laquelle suscite chez le public les deux sentiments de pitié et de peur. Une tragédie se compose de six éléments, qui sont respectivement la fable ou intrigue de la pièce, les personnages , la diction, la pensée, le spectacle, et enfin la mélodie car le spectacle tragique était accompagné de musique.La fableLa fable, ou intrigue, est la combinaison logique des péripéties de l’histoire représentée dans la pièce. Si l’intrigue est bien construite, on ne doit pas pouvoir en retrancher une seule péripétie sans détruire la cohérence de l’ensemble. Il n’y entre donc aucun incident inutile à l’action. La fable est la partie la plus importante, car selon Aristote, une tragédie représente des actions, non des personnages les personnages sont là pour servir l’action, et non l’inverse. Trois éléments distincts composent la fable la péripétie au sens strict, lorsque l’on passe d’une situation à son opposé par exemple, quand un personnage socialement puissant déchoit et devient misérable ; la reconnaissance, ou passage de l’ignorance à la connaissance par exemple, Œdipe apprenant que la reine Jocaste, qu’il a épousée, est en fait sa mère ; la catastrophe, qui est une action destructive et douloureuse Œdipe se crevant les yeux et s’en allant comme un mendiant, après avoir appris l’horreur de son destin.Enfin, selon le philosophe, la fable doit être assez élaborée. En France, au XVIIe siècle, Corneille suivra ce précepte, alors que Racine, au contraire, cherchera à simplifier ses personnagesLe protagoniste, ou personnage principal, doit être plutôt du côté du bien, ou du moins occuper une position intermédiaire entre le bien et le mal; son malheur doit être provoqué par une erreur de jugement plutôt que par un vice foncier. Ce point particulier était très important pour Racine, qui précise dans la préface de Phèdre qu’il a pris soin de ne pas donner à son héroïne les traits monstrueux que les versions précédentes lui avaient conférés, de manière à rendre son malheur plus l’ensemble, les personnages d’une tragédie doivent être représentés d’une manière appropriée et réaliste. Ils doivent enfin conserver une unité psychologique d’un bout à l’autre de la pièce. Il importe que leurs actions apparaissent comme les conséquences logiques de leur règles de la tragédie classique en FrancePoétique fut, comme nous l’avons dit, maintes fois traduite et commentée pendant la Renaissance. Un commentateur du XVIe siècle, Scaliger, en déduisit certaines règles qui allaient être appliquées au siècle suivant Scaliger est à l’origine, notamment, des fameuses unités » de temps, de lieu et d’action. Aristote ne mentionne que les unités de temps et d’action; l’unité de lieu fut proposée et développée au XVIe trois unitésVers 1630, un débat fait rage dans les milieux du théâtre en France les partisans de l’application rigoureuse des unités s’opposent aux auteurs qui défendent au contraire une application plus souple, voire une complète liberté décomposition. Vers 1640, les trois unités finissent par s’imposer elles correspondent, pense-t-on, aux préceptes du goût, de la maîtrise artistique et de la raison. Contemporaine du Discours de la méthode, de Descartes, cette victoire des unités marque le commencement du classicisme, vision d’un art dominé par la raison, et qui culminera sous le règne de Louis brièvement en quoi ces trois unités consistent l’unité d’action implique qu’il n’y ait qu’une seule intrigue principale dans la pièce ; l’unité de temps implique que l’action de la pièce se déroule dans la limite de vingt-quatre heures ; enfin, l’unité de lieu, la plus controversée, ne se trouvait pas chez Aristote, et n’a jamais été très clairement définie. Pour certains, le lieu unique » où doit se dérouler l’action de la pièce est tout l’espace que peut embrasser le regard ; chez Racine, ce lieu unique est plus circonscrit c’est l’intérieur d’un appartement, dans un palais, ou bien une unités cadre artificiel ou idéal ?De nombreux auteurs et théoriciens se sont posé cette question, dès le XVIIe siècle. Dans ses Trois Discours, où il réfléchit sur l’art dramatique, Corneille avoue qu’il n’a jamais été très à l’aise avec les règles des unités. L’unité d’action aide sans doute l’intrigue de la pièce à demeurer claire et cohérente, mais elle limite l’audace et l’imagination. Corneille lui-même aimait les pièces qu’il appelait implexes », c’est-à-dire chargées d’événements, et dotées d’une intrigue compliquée, pleine de rebondissements ; à l’unité d’action, il préférait l’unité de péril, c’est-à-dire l’existence d’un danger unique qui relie les composantes de l’action. L’unité de temps contraint parfois les auteurs à l’invraisemblance on cite toujours l’exemple du Cid. Pour respecter l’unité de temps, Corneille impose à son héros une journée d’enfer, comme on dirait aujourd’hui! Rodrigue doit se battre deux fois en duel, mener une armée à l’assaut contre les Maures, avoir des entrevues tendues et pathétiques à l’extrême avec son père, son roi et la femme qu’il aime, et tout cela en moins de vingt-quatre heures ! Quant à l’unité de lieu, c’est celle que les romantiques, comme Victor Hugo, ont dénoncée avec le plus de véhémence, car elle contraint les auteurs à des arrangements absurdes comment admettre que les conspirateurs, par exemple, viennent comploter dans la salle même où se trouve le trône du tyran à abattre ?De nos jours, nous aurions donc tendance à donner raison à Molière, qui ne voyait dans ces règles que pédanterie et snobisme de la part des intellectuels de l’époque. La seule règle, déclare-t-il dans sa Critique de l’Ecole des femmes, c’est de l’objectivité oblige à reconnaître que, chez certains auteurs, Racine le premier, l’application intelligente des trois unités a magnifiquement servi l’art de la tragédie, et du théâtre en général. Comment ? Prenons l’unité d’action. Contrairement à Corneille, Racine écrit une pièce à partir de presque rien », il aime réduire l’intrigue au minimum. La tragédie racinienne, en effet, est économe et concentrée elle est tout entière focalisée sur une crise », qui peut logiquement éclater et se résoudre en quelques heures ; mais ces quelques heures suffisent à décider de toute une vie, de toute une de cette intrigue réduite à un paroxysme critique, l’unité de temps apparaît tout à fait naturelle, de même que l’unité de lieu, car cette crise n’a pas besoin de beaucoup de temps ni d’espace pour se dérouler. C’est donc une esthétique de la concentration extrême le temps de la crise est bref mais riche en tension émotionnelle ; le lieu tragique, par son exiguïté même, devient un lieu théâtral parfait car c’est un carrefour de forces qui s’affrontent, en une lutte puissante et fatale. Cette unité de lieu peut également mettre en valeur l’importance symbolique d’un endroit particulier, comme le Temple de Jérusalem dans Athalie. Dans cette tragédie biblique, ce temple, demeure du Dieu d’Israël, fonctionne comme le cœur à la fois historique et religieux de tout le royaume. II est donc habile de la part de Racine d’en faire le centre nerveux de la pièce Oui, je viens dans son temple adorer l’Éternel », déclare Abner, dès le premier vers de la règle des trois unités a donc fourni à Racine un cadre idéal pour sa vision personnelle de la tragédie pour lui, en effet, c’est dans le cœur des personnages, et non dans les péripéties extérieures, que réside l’essence du tragique. Racine nous montre la fatalité destructrice des passions, telle que la volonté de puissance dans Athalie, ou la jalousie dans Phèdre, qui amène les héros tragiques à leur ruine. C’est sans doute grâce aux règles, et non pas malgré elles, que Racine atteint à la perfection de la tragédie. Mais les trois unités ne sont pas les seules règles il s’y ajoute les bienséances et le bienséancesLe mot bienséances » désignait, au XVIIe siècle, un ensemble de règles tacites qui avaient pour objectif de ne choquer le public ni sur le plan moral ni sur le plan esthétique. La première de toutes les bienséances pourrait constituer une quatrième unité il s’agirait de l’unité de ton, qui veut que l’on ne mélange pas les genres. L’univers de la tragédie doit toujours s’exprimer d’une manière noble et conforme à son rang, même si c’est pour dévoiler un caractère odieux. Chez Racine, Néron lui-même n’oublie pas les bonnes manières. C’est ainsi que l’on évite toute référence trop claire aux fonctions biologiques et à la classiques pratiquent également l’art de la litote, qui consiste à dire moins que l’on ne pense. Lorsque Chimène dit à Rodrigue Va, je ne te hais point » acte III, scène 4, elle veut dire qu’elle l’aime passionnément. Mais il eut été malséant de lui faire faire une déclaration enflammée. En général, les bienséances consistent à ne pas choquer le goût ni les préjugés du public. Les personnages doivent être présentés tels que le public les imagine, même si cela revient à flatter les idées toutes faites que les Français de l’époque pouvaient avoir sur d’autres peuples. Un théoricien dramatique, La Mesnardière, écrivait, dans les années 1630, qu’un auteur ne devait jamais faire un subtil d’un Allemand ou un modeste d’un Espagnol ! »La vraisemblance Le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable », dit très justement Boileau. La tragédie, pour avoir sur le public l’effet recherché qui est de lui inspirer pitié et peur, doit offrir aux spectateurs une histoire crédible, qui pourrait avoir lieu en réalité. Mais cela ne suffit pas non seulement on doit bannir de l’intrigue des éléments fantastiques ou impossibles, mais l’on doit même éviter de présenter des situations qui, bien que théoriquement possibles dans la vie réelle, sont trop rares et extraordinaires. Il faut, en d’autres termes, que le public puisse s’identifier aux personnages et se reconnaître dans les situations qu’ils vivent. Il faut donc que ces événements apparaissent non seulement possibles, mais probables, courants. La vraisemblance, comme les unités, n’est donc pas une règle totalement artificielle elle sert esthétiquement le but même de la tragédie, qui est, selon Aristote, de provoquer compassion et terreur chez les spectateurs. Une histoire invraisemblable, précisément, ne saurait provoquer de tels tragédie peut-elle avoir une fin heureuse ?Aristote insistait sur l’importance de la catastrophe » finale. A l’époque de Shakespeare, en Angleterre, on définissait la tragédie comme l’histoire de la chute d’un personnage illustre, qui passe de la prospérité au malheur, et finit misérablement. Enfin, dans le langage courant, le mot tragédie est teinté de pessimisme on qualifie de tragiques des événements terribles, tels que des guerres, des massacres, des désastres naturels…L’idée d’une tragédie qui se terminerait bien semble donc, à première vue, contradictoire. On se souvient qu’au début du XVIIe siècle existait un genre théâtral appelé tragi-comédie ce genre de pièces n’était pas un mélange de tragique et de comique, mais une tragédie à fin heureuse. Il avait donc paru nécessaire de créer un mot différent pour désigner ce genre pourtant, Corneille et Racine oseront, sur ce point, contredire Aristote et l’opinion traditionnelle. En effet, si la fin catastrophique était une condition absolue, une pièce telle que Cinna ne pourrait être classée comme tragédie. Dans cette pièce, Corneille s’inspire d’un épisode de l’histoire romaine l’empereur Auguste découvre que Cinna, qu’il aimait et protégeait comme un fils, a dirigé un complot visant à l’assassiner. Cinna, un peu comme Rodrigue dans Le Cid, agissait surtout par amour la femme qu’il aimait, Emilie, dont le père avait été exécuté sur l’ordre d’Auguste pour des raisons politiques, avait chargé Cinna de sa vengeance. On attendrait donc, après que la conspiration est dévoilée, un châtiment exemplaire tombant sur les amants. Mais c’est la clémence d’Auguste, et non son courroux, qui se manifeste à la fin de la pièce. Dans un noble monologue, l’empereur annonce son intention de pardonner Je suis maître de moi comme de l’univers. Je le suis, je veux l’être. Ô siècles, ô mémoire, Conservez à jamais ma dernière victoire ! Je triomphe aujourd’hui du plus juste courroux De qui le souvenir peut aller jusqu’à vous. Soyons amis, Cinna, c’est moi qui t’en convie…Cela nous rappelle que la morale de Corneille est profondément optimiste. Pour lui, qui insiste tant, dans ses pièces, sur le contraste entre les héros et les médiocres, l’individu supérieur peut dominer ses passions, et par là son destin, échappant ainsi à l’engrenage catastrophique de la si la fin malheureuse n’est pas indispensable, qu’est-ce qui différencie la tragédie cornélienne d’autres genres dramatiques ? Peut-on encore l’appeler tragédie ? C’est la grandeur héroïque, pour Corneille, qui est la base du tragique. L’essentiel est de voir le héros aux prises avec les forces de l’adversité ; c’est ce combat, et non pas l’issue heureuse ou malheureuse, qui constitue l’essence du tragique. Corneille remplace volontiers le malheur par le sublime. Ainsi de la réplique du vieil Horace à qui l’on demande Que vouliez-vous qu’il fît contre trois ? Qu’il mourût.Horace, III, 6.Le sublime, plus que le malheur, est chez Corneille l’essence du est en accord avec Corneille, même si sa vision de l’humanité est très différente. Contrairement à Corneille, il montre les humains impuissants contre leurs passions et contre le destin, mais insiste sur la noblesse et la grandeur des héros tragiques. Nul besoin de sang ni de mort violente, explique-t-il dans la préface de Bérénice. Il suffit que l’action en soit grande, que les acteurs soient héroïques, que les passions y soient excitées, pour provoquer cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. »La tragédie après le XVIIe siècleSi l’on se limite à la France , il est certain que la mort de Louis XIV, en 1715, sonne le glas de la tragédie classique. Même si l’on continue d’écrire des tragédies, le genre ne retrouvera jamais l’éclat que lui ont donné Corneille et Racine. Qui lit encore les nombreuses tragédies en vers composées par Voltaire ? Et pourtant, l’auteur de Candide et de Zadig rêvait de passer à la postérité comme digne successeur de Racine, et non comme auteur de contes philosophiques. C’est que le climat social, depuis la Régence, n’était plus propice à la tragédie cette dernière, en effet, ne peut s’épanouir qu’au sein d’une culture qui croit au destin, et voue un culte à la grandeur héroïque. Un climat comme celui du XVIIIe siècle, qui voit la décadence irrémédiable de l’aristocratie, et le développement d’une littérature satirique, ironique, contestant les valeurs établies, allait à l’encontre de la la tragédie, dans sa forme classique, ne pouvait-elle exister que dans une société dominée par les valeurs aristocratiques honneur, gloire, absolutisme moral. Or, au XVIIe siècle, ces valeurs périclitent avec la montée en puissance de la bourgeoisie. Cette nouvelle classe dominante aspire à un théâtre plus proche de son univers social et moral. Aussi voit-on apparaître, au milieu du XVIIe siècle, un genre nouveau, le drame bourgeois. Enfin, si la tragédie est de plus en plus absente de la scène, c’est aussi parce que, après 1789 il n’est plus besoin d’aller au théâtre la tragédie, avec ses ingrédients de catastrophes, de crises, de passions héroïques se trouve dans l’Histoire elle-même. Quelle plus belle tragédie que le destin de Robespierre ? Quant à Napoléon, qui s’étonnera qu’il ait eu de l’admiration pour Corneille ?Les romantiques, auront de nouvelles raisons surtout esthétiques, de vouloir en finir avec la tragédie classique et ses règles. Au XXe siècle, un nombre important de pièces, si elles ne suivent plus les règles de la tragédie classique, comportent néanmoins des éléments tragiques. Certaines reprennent des sujets de la tragédie grecque antique Antigone, de Jean Anouilh, et La Machine infernale, de Jean Cocteau. On trouve aussi du tragique dans les pièces de Henry de Montherlant notamment dans ses pièces espagnoles », telles que Le Maître de Santiago ou Le Cardinal d’Espagne, ou se manifestent ces attitudes nobles et altières dans le malheur, qui sont communément attribuées au caractère le théâtre de l’absurde » des années cinquante pourrait lui aussi être considéré comme une forme particulière de la tragédie, mais il s’agirait alors d’un tragique différent, autant par la philosophie que par le style, qui pour dire le moins, n’est pas toujours empreint de noblesse ni de bienséance » ! Le tragique, de nos jours, est tout aussi présent qu’au XVIIe siècle, mais il sort de plus en plus des cadres du théâtre.→ À lire Le théâtre de l’ littéraires Le roman La poésie 🔴 Le théâtre La fable Autres genres littérairesArticles connexes Le genre dramatique. La tragédie lyrique. Le drame bourgeois. La comédie. – La comédie classique en France. Le théâtre de l’absurde. Les figures de style. La littérature. 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Résultatspour "philo 1 je moi meme maitre" Suis-je maître de moi même comme de l'univers ? Je suis maître de moi-même dans une certaine mesure, dans la marge de décision, de tempérance et de contrôle que me laissent les forces biologiques, passionnelles et sociales qui rythment mon existence. Or cette maîtrise est-elle analogue à
Je suis née en 1960. Fais le compte et tu verras que je ne suis pas une Maîtresse " minette ". Je reçois dans mon Donjon, un fief qui depuis de nombreuses années, voit passer ceux qui, comme toi, portent en eux ce désir de soumission, d'obéissance, voire de douleurs. Loin de moi les délires mystiques post-pubères genre " - Je suis la reine de Saba et t'attends dans mon univers cosmique,… " car seule compte pour moi, en tant que Maîtresse, la complémentarité entre mes volontés et ta nature. Cela implique une relation Maîtresse-soumis ou Maîtresse-esclave sur mesure, adaptée à chaque soumis ou esclave qui, dès le premier contact, s'édifie sur les fondations des règles de convenance suivantes - Je te tutoie, tu me vouvoies - Ton langage est respectueux - Ton attitude est d'emblée conforme à ta nature de soumis ou d'esclave - Tu te plies au principe d'une première approche de compatibilité par téléphone qui, si elle s'avère positive, sera suivie d'une mise au point établie dans la limite des critères énoncés, entre autres dans la rubrique " Pratiques " de ce site. - En cas de rencontre, ponctualité, hygiène et déférence absolues. Maîtresse Sherley Le Donjon BDSM de Maîtresse Sherley est situé vers Grenoble en région Rhône-Alpes France Maîtresse Sherley, objetiseuse SM sur Grenoble-région. Tél. 06 79 38 10 10 / +33 06 79 38 10 10

Jesuis maître de moi comme de l'univers, Nous dit maître Corneille avec d'Auguste vers. Est-ce à mettre en exergue ou bien tout à la fin ? Car mettre ou ne pas mettre est débat cornélien. En ces temps très techniques où le mettre-étalon N'est plus que longueur d'onde issue du gaz krypton, Il faut mettre aux poubelles un platine

Le musulman est convaincu que Dieu est le seul Maître Créateur et Gouverneur de l'univers. II n'a pas d'autre associé. II est vrai que la croyance est un don divin mais le témoignage de la Tradition et la logique peuvent l'engendrer. Les preuves de la Tradition1 - Dieu, lui-Même, nous a fait savoir Sa qualité de Maître et de Créateur de l'univers. Il se loue en ces termes Loué soit Dieu, Maître de l'univers! Dis, qui est le Seigneur des mondes? Réponds C'est ALLAH! 13 - Le Tonnerre- 16 - II est le Maître des cieux, de la terre et de ce qui est entre eux, si vous y croyez. Point de Dieu à part Lui. II donne la vie et la mort. II est votre Maître et celui de vos ancêtres. 45 - La Fumée- 8 Rappelant l'engagement donné par les fils d'Adam, alors même qu'ils se trouvaient dans l'épine dorsale de leurs pères, de croire en LUI, de Luiconsacrer toute leur dévotion et de ne jamais Lui adjoindre d'associé, il ditRappelle-leur, lors ton Seigneur a tiré des reins des fils d'Adam leurs descendances et les a fait témoigner vis-à-vis d'eux-mêmes en leur disant "Nesuis-je pas votre Seigneur à quoi ils répondirent "Si! Nous l'attestons!". 7 - El Araf- 1721 Pour confondre les polythéistes et leurs donner les preuves formelles afin qu'ils ne trouvent aucune échappatoire Il dit Dis-leur; Qui est le Maître des sept cieux et du grand Trône? Ils diront Mais c'est Dieu! Réponds-leur Ne le craindrez-vous pas? 23- Les Croyants-86 2 - Messagers et Prophètes avaient annoncé témoigne et reconnu qu'Allah est le Seigneur Adam, par exemple, L'avait imploré en disant Seigneur! Nous nous sommes nui à nous-mêmes. Si Tu ne nous pardonnes pas et ne nous accordes pas Ta miséricorde, nous serons perdus! 7-El- Araf-23 Noé, dans sa plainte adressée à Dieu s'exprima ainsi Seigneur ils m'ont désobéi. Ils ont suivi ceux dont la richesse et les enfants ne font qu'accroître leur perte. II dit encore Seigneur! Mon peuple m'a traité de menteur. Décide entre nous. Sauve-moi et les croyants qui sont avec moi. 21 - Les Poètes - 118 Abraham implore Dieu en faveur de la Mecque, lieu saint d'Allah, en sa propre faveur et pour sa descendance. Il dit Seigneur! Accorde la paix à cette cité et préserve-moi ainsi que mes enfants d'adorer les idoles. 14 - Abraham - 35 De même, Joseph remercie Dieu en ces termes Seigneur! Tu m'as donné du pouvoir et m'as appris à interpréter les songes. ش Créateur des cieux et de la terre, tu es mon Protecteur dans ce monde ici-bas et dans l'autre. Fais qu'a ma mort je sois résigné à Ta volonté que je sois rangé dans le groupe des saints. Moïse dans une de ses prières L'invoqua ainsi - Seigneur! ةlargie ma poitrine, facilite ma tâche, délie ma langue pour être mieux compris. Renforce-moi par un membre de ma famille. 20 -Taha- 28 Aaron dit aux fils d'Israël Votre Seigneur est le Clément. Suivez-moi et obéissez! 20 -Taha- 90' En demandant Sa miséricorde Zacharie dit - Seigneur! mes forces déclinent et mes cheveux blanchissent. Je ne t'ai jamais adressé une prière que tu n'aies exaucée 19, Marie 4 Et en l'implorant il dit Seigneur, ne me laisse pas sans descendance, bien que tu sois le plus désirable des héritiers. 21, Us Prophètes, 89 En répondant à Allah, Jésus avait dit - je ne leur ai dit que ce que tu m'as ordonné de leur dire "Adorez Dieu, mon Seigneur et le vôtre" 5, La Table, 117 S'adressant à son peuple, Jésus dit Fils D'Israël, adorez Dieu mon Seigneur et le vôtre. Quiconque LUI attribue un associé se verra interdire l'accès du Paradis. Sa demeure sera la géhenne. Aucun secours ne sera accordé aux injustes. 5 - La Table servie- 72 Notre Prophète Mohammed SA sur lui disait à ses moments difficiles - Il n'y a de Dieu qu'Allah, Le Grand et le Clément. - Il n'y a de Dieu qu'Allah, le Seigneur du grand Trône. - Il n'y a de Dieu qu'Allah, Seigneur des cieux, de la terre et du Trône illustre. Muslim Tous ces Prophètes considérés comme les plus sages, les plus honnêtes et les plus savants des humains avaient reconnu que le Seigneur et le Créateur est Dieu ; et tout en étant les meilleurs à connaître Ses Attributs, ils l'ont implorés par cette qualité de Seigneur et Créateur. 3 - Un nombre important de savants et de sages ont eu la foi en Dieu et L'ont considéré comme le Seigneur de l'Univers et le Maître de tout. 4 - Un nombre illimité d'hommes sages et vertueux ont cru aussi en Lui en tant que Seigneur de toutes les créatures. Confirmation par la Logique Comme preuves saines et logiques, nous pouvons citer les suivantes 1 - Il est le seul Créateur. Nul n'ignore qu'une personne autre que Dieu, n'a prétendu ou pu créer, même une chose si infime soit-elle, tel un poil dans un corps humain ou animal, une minuscule plume dans l'aile d'un oiseau ou une feuille d'un rameau oscillant, à plus forte raison, un corps vivant ou un corps céleste, grand ou petit. Ce pouvoir est mentionné dans le Coran quand Dieu, le Béni, le Très-Haut dit De Lui procède la création et le commandement. Béni, soit Allah, Dieu de l'univers. 7 - El-Araf - 54 Il vous a créés, vous et ce que vous faites. 37 - Les rangés - 95 Comme Créateur, Il a fait son propre éloge en ces termes - Louange à Dieu qui a créé les cieux et la terre et qui a engendré les ténèbres et la lumière. 6 - les Troupeaux - 1 - C'est Lui qui donne un début à la création, puis la renouvellera. Cela Lui est facile. L'exemple le plus sublime Lui appartient dans les cieux et sur la terre. Il est le Puissant, le Sage. 30 - Les romains -27 Ainsi, sa qualité de créateur, prouve son existence et Sa divinité. 2 - Il est le seul pourvoyeur. Il n'y a point d'animal sur terre, ou dans l'eau, ou dans les entrailles de sa mère, auquel Dieu ne pourvoie, à qui Il ne donne l'instinct de trouver sa nourriture et la possibilité de s'en saisir et d'en profiter. Tous les êtres, sans exception, de la créature la plus minuscule, comme la fourmi, à la plus parfaite, c'est-à-dire l'homme, existent, sont formés et subsistent grâce à Dieu. Dieu seul, crée, forme et nourrit. Cette vérité est profondément confirmée dans les versets suivants Que l'homme considère sa nourriture. Nous avons versé abondamment l'eau, Nous avons fendu profondément le soi, Nous avons fait pousser graines, vignes, légumes, oliviers, palmiers, jardins touffus, fruits et pâturage. 80 Il s'est renfrogné- 24,31 Il dit aussi Il a fait descendre du ciel de l'eau, avec laquelle Nous faisons germer toutes sortes de plantes. Mangez et faites paître vos troupeaux. 20 -Taha- 54 Il dit également Nous avons fait descendre du ciel de l'eau pour vous abreuver, eau que vous êtes incapables de garder. 15 -El-hijr-22 Il annonce qu'Il est le seul Pourvoyeur Il n'y a point de bête sur terre à laquelle Dieu n'assure sa subsistance et dont Il ne connaisse le gîte et l'endroit où elle se repose. 11 - Houd - 6 . Si, sans contredit, il s'avère que nul ne pourvoit, sauf Lui, cela prouve qu'Il est le régisseur de toutes Ses créatures. 3 - L'homme qui n'a pas été corrompu par la société, est témoin de la divinité d'Allah et il la proclame solennellement, car, tout homme dont la nature est restée saine, sent au fond de lui-même sa faiblesse et son impuissance, vis-à-vis de Dieu, Celui qui détient le pouvoir et la puissance, qui fixe sa destinée et administre ses actes Il proclame, très haut, sans hésiter, qu'Allah est son Dieu et Celui de toutes les créatures. Cette vérité, admise sans contestation par tout esprit sain, est confirmée par les aveux que le Coran arrachait aux idolâtres les plus obstinés quand il dit - Si tu leur demandes - Qui a créé les cieux et la terre? Ils répondront Le Tout Puissant les a créés, celui qui sait tout » Si tu leur demandes Qui a créé les cieux et la terre, assujetti le soleil et la lune? Ils répondront C'est Dieu! Dis Qui est le Seigneur des sept cieux et du Trône immense? Ils diront C'est Dieu! 4 - Le fait de posséder, de disposer librement de ses créatures, est une preuve de la divinité d'Allah. Il est admis que l'homme, aussi bien que tous les êtres vivants, ne possèdent rien en réalité. L'homme ne vient-il pas au monde nu comme un ver? Ne le quitte-t-il pas démuni de tout, sauf d'un linceul qui l'enveloppe? Comment dire qu'il possède quelque choses? L'homme est la créature la plus noble. Mais si celui-ci ne possède rien. Qui possède tout? Il n'y a pas de doute que c'est Dieu le vrai possesseur! Ce qu'on dit de la possession s'applique également à la disposition des créatures et de leur administrateur. Aussi, Dieu est-il le Créateur, le pourvoyeur, le possesseur et l'Administrateur. Tels sont quelques-uns de Ses Attributs. Dans passé, les plus obstinés idolâtres avaient reconnu ces attributs et le Coran avait enregistré leurs témoignages dans maintes sourates. versets On y litDis - Qui vous Procure de la nourriture du ciel et de la terre? Qui dispose de l'ouïe et de la vue? Qui fait sortir le vivant du mort? Qui fait sortir le mort du vivant? Qui dirige toutes choses? Ils répondront C'est Dieu! Dis "Qu'attendez-vous pour le craindre" Tel est Dieu votre Seigneur! Qu'y a-t-il en dehors de la vérité, sinon l'égarement! Lui cite Corneille: "Je suis maître de moi comme de l’univers", ragaillardi d’être, encore une fois, au centre du débat. Une plainte, déposée jeudi, pour "apologie de crime de guerre
01 avr Question Il y a quelques temps, j'étais seul dans une forêt près d'une riviére, la nuit. Soudain, j'ai senti un sentiment incroyable d'Unité avec l'Univers, même si je savais que je n'étais qu'une petite partie de l'Univers. Je me suis senti comme si j'étais une partie de quelque chose de plus grand, et j'ai pu sentir l'univers comme une partie de moi. Je veux explorer ce phénomène, mais je ne sais pas quoi faire. On m'a dit d'aller me renseigner sur le mode de vie du Réponse de Maitre Kosen C'est certainement l'esprit de Bouddha ou Dieu qui vous a fait signe. C'est une grande chance, cela prouve que vous n'êtes peut-être pas prédestiné uniquement à une vie de consommation ou d'esclavage mais que peut-être vous deviendrez un pionnier, un chercheur, un aventurier de l'esprit et de la chance. Mondo Sur le même thème Eveil 20 fév La foi en la Loi Étant donné que le véritable esprit de la Loi est plus puissant que tout les karmas, pourquoi certeines personnes, en écoutant l'enseignement de grands Boddhisattvas comme toi ou Deshimaru, leur sceptiscisme ? Laurent Au fait, j'ai bien transmis ton livre à F A Vive la France, haha ... 02 Jan montée de la kundalini et zazen Bonjour Maître Kosen, Depuis quelque mois j'ai une pratique assez intensive de zazen rohatsu, sesshin.... Je ne fais pas ou peu de yoga quelques postures ou prana de temps à autre, seulement zazen, donc. Et il me semble que je suis en train de vivre une montée ou un début d'éveil de la kundalini. J'ai tout un tas de symptômes qui ... 07 fév Illusion du moi ou developpement de la personnalité Maitre kosen, Le bouddhisme défend-il le développement de la personnalité où le moi serait en perpétuel progrès jusqu’à "l’éveil" ou alors vise-t-il à se défaire de l'illusion du moi. En gros, le moi est-il perfectible ou n'est-il qu'illusion? Merci... 26 mai peut on se libérer sans maîtres ? bonjour Maître Kosen, pratiquant la méditation et le dharma du mieux que je peux, est il possible d'atteindre la réalisation sans être disciple d'un Maître ? est il néfaste de pratiquer sans guides ? pour les pratiques méditatives, ai été formé par des gens compétents, mais continue seul le fond de la question pourrait ... Français translation unavailable for liberté. 30 Jan eveil Bonjour, à quoi ressemble le plus la transformation de l'éveil ? à celle de l'eau quittant l'immobilité de la glace pour le mouvement de l'eau puis l'élévation, devenant nuée emplie de lumière ? à celle de la plante venue de l'obscurité dont la lumière guide la transformation et y participe, pour lui permettre de croître toujours ... 04 déc le Non eveil, qu'est-ce? Bonjour Maître Kosen A quoi ressemble ce qui est aux antipodes de l'éveil? Avant de franchir les différents degrés de l'éveil, à quoi ressemble une personne? En imaginant un point "zéro" d"où l'on partirait tous, alors, s'il y a différents degrés vers l'éveil, y-a-t'il différents degrés qui éloignent de l'éveil? Rien de vraiment... Pour en savoir plus Vous voudrez peut-être consulter d'autres thèmes de ce mondo Online, ou poser votre propre question. Lisez Mondo online questions au maître zen Kosen Thibaut
Inspiré Nicolas Sarkozy l’était visiblement lors de sa prestation télévisée du 27 octobre. Inspiré par Corneille et la célèbre phrase de l’empereur Auguste : « Je suis maître de

17 JMB 20 juin 2021 à 1449 / Répondre 15- Sans blague ? Ta mauvaise foi fait que tu mélanges un peu tout – nos rituels reconnus par la grande majorité de la FM mondiale et tes fantasmes pseudos grécos machin-trucs connus de toi seul. Contrairement à toi je ne critique pas tes croyances et tes fantasmes. Tu as tout à fait le droit de préférer le petit livre rouge au Volume de la Loi Sacrée. Tu as tout à fait le droit de prendre pour rituels l’Humanité, les écrits de Marx ou encore tes fantasmes grecques. Mais à l’évidence dans ce dernier cas, on ne parle pas de la même chose. 14 JMB 20 juin 2021 à 1202 / Répondre 12- Désap » dans vos loges vous ne parlez que de religion » ??? Stp, arrête ton cinéma ! Tes délires, tes fantasmes, tes mensonges sont des insultes à la Vérité et te ridiculisent une nouvelle fois. Dans nos Loges nous travaillons sur le rituel, rien que le rituel. Maintenant si toi, le célébrissime Désap, tu préfères travailler autrement et, dans ta loge, philosopher sur le sexe des anges, c’est ton problème … et pas le mien. 15 Désap . 20 juin 2021 à 1325 / Répondre 14 – Sans blague ? Jakin, Boaz, Temple de Salomon, Etoile, etc … ne sont-ils pas des notions bibliques dont la signification est conforme à leur définition biblique ? Le Volume de la Loi Sacrée n’est-il pas la Bible prise intégralement pour ce qu’elle est la Parole divine, et en aucun cas pour un symbole ? Arrête ton enfumage JMB, toi et tes frères de la GLNF ne cessent d’affirmer ici que s’il n’en était pas ainsi le botin suffirait à présider sur l’autel. Votre maçonnerie s’appuie intégralement et exclusivement sur la Bible, la religion et sur le christianisme plus précisément. Ce qui est incompréhensible, c’est que vous ne l’assumiez pas puisque vous l’imposez à vos membres. 16 Luciole 20 juin 2021 à 1346 / Répondre à Desap OK,on vire la Bible,tous les hébraïsmes, remplace par quoi?un livre blanc qui évidemment ne peut rien signifier?un livre des Constitutions qui, sans références à une éthique,ne signifie que des Règlements généraux? On élimine les serments,les Rituels deviennent facultatifs et modifiables. Que reste t’il? 18 Désap . 20 juin 2021 à 2024 / Répondre 16 – Évidement dans l’excès on finit par démontrer l’absurde. Et puis me prêter de vouloir vider la maçonnerie de ses lettres c’est dommage. Ma réponse est une phrase du rituel ici tout est symbole. Tout c’est tout, ce n’est pas tout moins quelque chose, donc y compris la Bible. Va faire admettre ça aux réguliers, bon courage. Le livre des Constitutions est sans référence à une éthique ? Relis l’Art. 1, il n’est qu’éthique, c’est l’éthique de la Franc-maçonnerie qui sera dévoyée en 1929 par la GLUA lorsqu’elle introduit la notion de révélation. Les religions ne sont pas éthiques, elles sont partisanes. Relire les Grecs et Spinoza. 13 renuccio 20 juin 2021 à 0934 / Répondre Je me sent tout à fait hors de cette discutions et c’est heureux, je ne suis pas entré en Franc-maçonnerie pour entendre des jérémiades de fonds de sacristie. 10 JMB 15 juin 2021 à 1322 / Répondre 7- Désap A la lecture de tes inepties, je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer. Vous NOUS fatiguer avec la religion » Mais mon pôvre Désap tu te prends pour qui ? Pour le Roi ou pour Dieu le Père peut-être ? Mais honnêtement, à part toi même et tes amis extrémistes laicards, qui crois-tu représenter qui sous ton oriflamme ridicule ? D’ailleurs j’en viens à me demander si ton extrémiste et ton égo disproportionné sont compatibles avec les valeurs de la FM. 12 Désap . 15 juin 2021 à 1736 / Répondre 10 – Et bien écoute, moi je trouve navrant de trahir les principes de 1723, mais tu as le droit de t’en réjouir. Suivant l’adage tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas et inversement », comme ici, dans vos loge vous ne parlez que de religion, toute votre maçonnerie se rapporte à la religion et Anderson à la poubelle, Ahiman Rezon et saint Dermott priez pour nous. Pour le reste, je t’invite à faire une demande de radiation. 7 Désap . 15 juin 2021 à 0235 / Répondre Vous nous fatiguez avec la religion. Le principe cardinal de la maçonnerie sur lequel insiste toutes les constitutions, c’est pas de discussion sur la religion et la politique. Prétendre que le GADL’U est un dieu et plus précisément celui du monothéisme c’est faire de la religion le principe de la maçonnerie et donc nécessairement favoriser les débats ayant pour objet la religion. C’est absolument et objectivement irrégulier. Dès lors qu’un GM de la GLNF s’exprime devant les autorités publiques, il ne peut s’empêcher de brandir la croyance en Dieu de ses membres même lorsque ce n’est pas le sujet, c’est l’introduction obligée. C’est risible et tellement mise en scène que l’on croirait voir les chrétiens se sacrifier dans le Cirque. 8 Désap . 15 juin 2021 à 0246 / Répondre * Le principe cardinal de la maçonnerie sur lequel insisteNT toutes les constitutions … 9 ERGIEF 15 juin 2021 à 0917 / Répondre 7 – Mon cher DESAP c’est toi, avec ton monolithisme primaire et tes affirmations péremptoires qui fatigue tout le monde. Si nos débats te dérangent, retire toi dans ta caverne et laisse les autres libres de s’exprimer et de choisir le mode de vie maconnique qui leur sied. Il y a certainement bien d’autres domaines que celui de la croyance ou non en un dieu révélé où tu es capable d’apporter ta contribution. Tu es assez intelligent et cultivé pour ça. Si tu n’aimes pas n’en dégoûte pas les autres. Il n’y a rien de pire face au militantisme religieux que l’athéisme militant. Fraternellement. 11 Désap . 15 juin 2021 à 1648 / Répondre 9 – Dire que je suis d’athée parce que je n’ai aucune foi en la description du Principe établi par le monothéisme et nommé Dieu. C’est la démonstration d’une monoculture biblique et/ou coranique et celle d’un esprit fermé à toute autre éventualité. Ce n’est pas cela le principe de la maçonnerie, je regrette, c’est tout l’inverse. Non mon cher ERGIEF, je ne suis pas athée. Le postulat de ma réflexion est celui de la GLDF, tantôt repris par la GL-AMF, tantôt abandonné au profit de Dieu, un Principe Créateur connu sous le nom de Grand Architecte de l’Univers ». Je suis ainsi déiste, cependant avec une particularité pour moi très intéressante issue du néoplatonisme grec, celle de supposer qu’il existe une possibilité de comprendre le Principe. Mais au-delà, une question me taraude dans pas de discussion religieuse ou politique en loge » qu’est-ce qui est si difficile à comprendre ? 6 ERGIEF 15 juin 2021 à 0139 / Répondre 5 – TCF GANAPATI, loin de moi l’idée de considérer comme vexatoire » ce classement de la GLDF parmi les obédiences libérales, je me contente de faire remarquer qu’il est étonnant. En effet cette belle obédience monorite, que je connais particulièrement bien pour lui avoir appartenu durant 25 ans, affirme sa régularité à l’égard de landmarks dont le 1er proclame l’existence d’un Principe Créateur sous le nom de Grand Architecte de l’Univers ». La GLDF est déiste et spiritualiste mais certainement pas libérale. D’après moi, elle se situe à part, dans le classement des obédiences entre les théistes telles la GLNF et les libérales/sociétales telles le GODF. C’est bien ce qu’avait souhaité Adolphe Crémeux, dont je m’honore d’être originaire comme lui de la Rome française, lorsqu’en 1875 il fit accepter cette déclaration liminaire par le Convent de Lausanne. Le débat reste ouvert… 3 Peter Bu 13 juin 2021 à 1549 / Répondre Dans son analyse du paysage maçonnique français d’alors, Jean-Pierre Servel disait que le respect de ces Landmarks ne nous coupait pas du monde ni ne nous refermait sur nous-mêmes. Il avait raison. » Il avait raison. Par conséquent, nous restons refermés sur nous-mêmes - 2 Désap . 13 juin 2021 à 0240 / Répondre C’est un robot qui a répondu ? 4 JMB 13 juin 2021 à 1923 / Répondre 2- Désap J’ai un doute, de qui parles tu ? 1 ERGIEF 13 juin 2021 à 0049 / Répondre Cher Geplu, je suis assez surpris de te voir compter la GLDF parmi les obédiences libérales ». Pas certain que ça leur fasse vraiment plaisir. 5 Ganapati 14 juin 2021 à 2207 / Répondre Cher Ergief, Dans le sens où la GLDF considère que le GADL’U est un symbole libre de toute interprétation, et que ses loges peuvent initier des profanes toutes croyances, mais également ceux qui se déclarent athées ou matérialistes, on peut, me semble-t-il, dire que la GLDF se range d’elle-même dans les rangs de la Franc-maçonnerie dite libérale, ce qui entre-nous n’a rien de vexatoire en soi, ni ne diminue la qualité des FF de la GLDF.

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